Portrait

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1. On ne devient pas graphiste et webdesigner par hasard…

On peut avoir un esprit scientifique ET une sensibilité artistique !

La preuve, après mon bac S, j’ai effectué une remise à niveau en Arts Appliqués avant d’obtenir une double licence en Histoire de l’art et en Information & Communication.

Mais je tenais à ma rigueur tout autant qu’à ma créativité et ma curiosité… Le métier de graphiste pouvait-il me permettre d’aligner toutes ces valeurs ?

Finalement, j’ai couronné mon parcours d’une licence pro création graphique et multimédia, avant de me lancer dans le monde des agences et de l’entreprise. Idéal pour me former à une grande diversité de clients et de demandes ! Print, Web, entreprises locales ou nationales… Dans une agence de graphisme, on se frotte à tous les horizons !

En 2015, j’avais acquis suffisamment d’expérience et de confiance pour pouvoir me lancer en tant qu’indépendante !

2. Le choix de l’indépendance

En 2015, après plusieurs années en agence et en entreprise, je fais le choix de l’indépendance. Une émancipation qui me permet d’exprimer pleinement les valeurs qui me tiennent le plus à cœur, notamment créer des relations de confiance durable avec les clients que j’accompagne.

En tant que graphiste et webdesigner indépendante, j’adore apporter ma créativité tout en m’adaptant aux différents métiers de mes clients. Ils s’ouvrent à moi, me font partager leur vision et leurs envies tandis que je me charge de les illustrer. En bref : nous collaborons.

De la création de la charte graphique jusqu’au design de sites web, en passant par les logos, les supports print et le packaging, je gère toute la communication visuelle de mes clients.

De plus, en tant qu’indépendante, je peux m’investir dans des projets qui font écho à mes valeurs, la plus importante étant la protection de l’environnement.

Avec le recul, je me rends  compte que ce n’était en réalité que le début du voyage…

🌎 3- Exploratrice impliquée

Aujourd’hui, je vous raconte des projets que j’ai réalisé lors de mes voyages et qui ont autant nourri mon parcours d’entrepreneuse que mes convictions.

🚍  En 2018, je me suis lancée dans l’aventure de La Brigade du Voyage, un bus scolaire réaménagé pour sillonner les routes américaines. J’ai accueilli des touristes de passage, défini les itinéraires, et découverts des parcs naturels d’une beauté à couper le souffle.

La même année, j’ai également traversé l’Inde dans le cadre du “Rickshaw Run”, une course en Tuk-Tuk où les participants doivent lever des fonds pour l’éducation des enfants, la protection des forêts ou encore l’accès à l’eau courante. Inutile de dire qu’entre les chaos de la route, les imprévus du voyage et la découverte d’une culture si particulière, le Richshaw Run fût un sacré test de détermination et d’adaptabilité… Mais surtout, l’une des expériences les plus enrichissantes de ma vie !

 Puis, en 2020, j’ai ensuite vécu au Cambodge, où j’ai appris à travailler selon des codes culturels différents, aussi bien dans le domaine du tourisme que pour des galeries d’arts ou une école de pâtisserie pour jeunes filles.

Encore une fois, il s’agissait avant tout de s’adapter à une culture différente toute en participant à la promotion d’initiatives éthiques axées sur l’éco-tourisme, l’art ou l’éducation.

Sans même y penser, je pratiquais déjà un tourisme responsable.

Aujourd’hui, en tant qu’entrepreneuse de retour en France, je souhaite continuer à m’impliquer pour l’environnement et la solidarité. Et ainsi partager mes valeurs au fil de mes nouvelles collaborations !

Si vous vous reconnaissez dans ces valeurs, n’hésitez pas à me contacter pour échanger sur vos projets.

Et pour en savoir plus sur mes voyages, rendez-vous ici

Je suis experte design certifiée par la BPI

Je suis experte design certifiée par la BPI

Je suis experte design certifiée
par la BPI

Comme vous le savez peut-être, la Banque Publique d’Investissement (BPI) est le principal organisme d’aide au financement et au développement des entreprises françaises. Avec l’aide de l’État et des régions, la BPI soutient les PME en participant à leur financement, en proposant des formations et, sous certaines conditions, en attribuant des certifications d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai obtenu la certification Experte Design il y a déjà plusieurs années.

Une telle certification n’est pas sans avantages, notamment d’un point de vue financier pour vous.

 

Quels sont les bénéfices ?

En effet, cela signifie que le Comité de Sélection de la BPI me reconnaît comme une experte du design et salue mes qualités de pédagogie, de méthodologie et mon engagement. Ainsi, en collaborant avec une experte certifiée, mon client s’assure de compétences indispensables au bon déroulement d’un projet.

Mais surtout, cette certification me permet de proposer un financement de votre projet par la BPI à hauteur de 50% ! Et oui, si vous êtes une Startups et une PME innovantes immatriculées en France, la moitié du prix (TTC) de ma prestation sera prise en charge par la BPI ! En somme, vous m’engagez à moitié prix ! Et cerise sur le gâteau, vous n’avez même pas besoin d’avancer l’argent !

 

Le Diagnostic Design, l’exemple parfait

Et parmi toutes les dépenses sur lesquelles vous pouvez appliquer ce financement, le Diagnostic Design mérite clairement votre attention. Cette offre mise en place par la BPI est en effet très attirante pour toute PME/ETI qui souhaiterait replacer le design au cœur de leur culture d’entreprise.

Comme le nom le laisse supposer, ce Diagnostic permet ainsi à un(e) expert(e) certifié(e) par la BPI d’aider une PME à établir un état des lieux de sa stratégie design. Au terme de cette démarche, l’entreprise obtiendra ainsi :

  • Une analyse pointue de l’intérêt concret du design au sein du marché visé ;
  • Un bilan de la stratégie déjà en place ;
  • Une liste de recommandations et améliorations possibles, adaptées aux besoins de l’entreprise.

Le but premier de la BPI étant d’aider les PME et les Entreprises de Tailles Moyennes, le processus de demande du Diagnostic Design est très simple. Il suffit, une fois la vérification du statut d’expert certifié effectuée et le devis validé, de remplir en ligne un rapide formulaire fourni par la BPI. Encore une fois, aucune avance n’est demandée, ce qui permet à l’expert de se mettre au travail immédiatement, sans que l’entreprise ait de son côté à attendre un remboursement. Une démarche simple, aux résultats immédiats et sans avoir à débourser le moindre sou. Bref, la BPI telle qu’on l’aime !

Pour obtenir encore plus d’informations sur le processus ou rendez-vous directement sur le site de la BPI et si vous souhaiter demander un Diagnostic Design contactez-moi pour que je vous accompagne dans les démarches.

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Créations de cartes de voeux : plusieurs matériaux d’impression alternatifs

Créations de cartes de voeux : plusieurs matériaux d’impression alternatifs

Choisir ses cartes de vœux, c’est parfois comme choisir un cadeau… Un vrai casse-tête ! Surtout lorsqu’on a une conscience écologique.

Heureusement, en me confiant la création de vos cartes de vœux, vous pourrez choisir entre plusieurs matériaux alternatifs qui feront plaisir non seulement aux destinataires, mais aussi à notre chère planète.

Le papier de pierre : alors que le papier classique ne peut être réutilisé que 5 à 7 fois à condition d’y adjoindre des fibres de bois vierge, le papier de pierre est recyclable pendant près d’un siècle. Et le tout sans ajout de nouvelles matières ! De plus, une même impression sur du papier pierre consomme 20% à 30% d’encre en moins que sur du papier classique.

Cerise sur le gâteau : la production de papier de pierre émet 50 à 85% moins de CO2 que le papier traditionnel !

Papier kraft : Saviez-vous que le terme suédois  »kraft » se traduit par le mot  »force » dans la langue de Molière ? Évidemment, la solidité est un atout indéniable pour un emballage efficace, mais le papier kraft peut également servir à rédiger des cartes de vœux personnalisées qui respectent l’environnement !

Recyclable et biodégradable, le papier kraft peut être transformé en pâte à papier après utilisation. Surtout, la consommation d’eau nécessaire à son traitement est 6 fois moins élevée que pour du papier classique.

En outre, le kraft peut être fabriqué à partir de bois labellisé PEFC ou FSC, qui certifient que sa production respecte les principes de développement durable des forêts.

Papier Crush et Remake : On reste dans le thème du recyclage ! Le papier Crush par exemple, est la seule gamme de papier fabriquée à partir de résidus agro-industriels (café, amandes, agrumes, maïs, etc…) et participe lui-aussi au développement durable des forêts (comme en témoigne le label FSC). Petit bonus : les éléments de chaque matière sont visibles sur la surface du papier, ce qui lui donne un cachet unique.

Parfait pour vos cartes de vœux personnalisées !

Pour une démarche similaire, vous pouvez également choisir le papier Remake. À l’instar du Crush, il s’agit également d’un papier recyclé, cette fois issu des chutes de la maroquinerie. Ces inclusions de cuir donnent également au papier Remake un style inimitable ainsi qu’un effet tactile doux et velouté.

En bref, un papier recyclable, biodégradable et naturellement chic !

Intervention auprès de l’école ECORIS de Chambéry

Intervention auprès de l’école ECORIS de Chambéry

Une mission riche en enseignements !

Durant 2 jours, j’ai eu le plaisir d’accompagner cette école de commerce lors d’une mission pleine de challenges pour ces futurs Managers en Stratégie et Développement. Ceux-ci devaient créer la stratégie de développement et de communication d’une marque naissante et la présenter oralement, supports visuels à l’appui !

Quant à moi, en ma qualité de consultante graphiste, ma mission était de les conseiller et de les guider étape par étape dans la création de cette nouvelle marque. De plus, j’ai conçu avec eux différents supports présentant leur stratégie : logos, plaquettes, supports de présentation, etc…

Au final, nous avons passés ensemble 2 journées riches en échanges et en pédagogie, parfaites pour démontrer les bénéfices mutuels que peuvent rapporter l’intelligence collective et la collaboration !

L’importance de communiquer en temps de crise

L’importance de communiquer en temps de crise

La crise du Covid-19 a eu un impact dramatique sur la majorité des entreprises du monde. Beaucoup ont mis la clef sous la porte ou licencié en masse. En ces temps difficiles, les entreprises ont beaucoup misé sur les outils de communication digitale pour garder la tête hors de l’eau, alors que le contact direct avec leur clientèle devenait soit compliqué, soit tout bonnement interdit.

Seulement, la mise en place d’une stratégie digitale qui continue de développer le chiffre d’affaires se fait simultanément sur plusieurs fronts :

  • animer les réseaux sociaux,
  • (re)créer un site web,
  • assurer son référencement…

Pour maintenir les relations avec ses clients malgré l’isolement ou la distance, l’entreprise se doit d’être visible partout et à tout moment.

Réseaux sociaux et Internet 

Pendant la crise, le nombre d’utilisateurs des réseaux sociaux ainsi que leur fréquence d’utilisation ont drastiquement augmenté. En France, on estime qu’environ 58% de la population française était quotidiennement active sur les principaux réseaux (Facebook, Twitter, LinkedIn…).

Évidemment, l’Hexagone n’est que l’un des multiples exemples de ce phénomène planétaire. Selon DataReportal, l’organisme d’analyse des données numériques, plus de 3,8 milliards de personnes utilisent les réseaux sociaux en 2020 (soit quasiment 50% de la population mondiale).

Plus significatif encore, l’utilisateur lambda passe chaque jour 6 heures et 43 minutes sur le web.

Le temps de sommeil moyen sur la planète est de 6 heures et 48 minutes !

Durant cette année 2020 placée sous le signe de la pandémie, réseaux sociaux et sites internet étaient parfois devenus les seuls moyens de communiquer avec ses amis, sa famille, de rester informés et parois de consommer. Désormais, même une petite entreprise locale ne peut plus se passer de ces outils pour faire connaître son produit ou sa marque. En BtoB comme en BtoC, au sein du même village ou d’un bout du monde à l’autre, les entreprises se doivent d’investir dans le digital.

 

S’illustrer au milieu de la masse

En conséquence, les contenus disponibles en ligne se multiplient chaque année. Disposer d’un simple site internet ne suffit plus pour être visible. Autant chercher une aiguille au milieu d’une galaxie de bottes de foin… Sachez que 75% des internautes (vos clients potentiels) se renseignent sur internet avant de procéder à un achat. Pour cela, ils utilisent surtout les moteurs de recherche (principalement Google), ce qui poussent les entreprises à utiliser différentes techniques pour se positionner en tête des résultats. Il peut s’agir du référencement naturel (SEO) ou payant (SEA).

Une fois le site web bien en vue de vos potentiels clients, il faut être capable de fidéliser leur attention en leur proposant régulièrement du contenu de qualité susceptible de les intéresser. On appelle cette technique «l’inbound marketing». En plus d’améliorer votre visibilité, l’inbound marketing est un excellent déclencheur d’achat.

Parmi les contenus possibles, les outils visuels sont ceux qui disposent généralement du meilleur taux de conversion. Vidéos de présentation ou d’explication, diaporamas et logos animés aident les clients à mieux se connecter avec la marque, et sont de redoutables accélérateurs de vente.

 

Un esprit clair pour une vision claire

En revanche, gardez à l’esprit que si l’utilisation de plusieurs techniques sont le meilleur moyen de transformer une crise en opportunité, l’aide de professionnels du digital comme les designers vous sera surement indispensable. Disposant d’une vision d’ensemble, il sont généralement les plus compétents pour définir une identité globale cohérente et évolutive sur le long terme.

Qu’est-ce qu’un graphiste ? Pourquoi choisir un graphiste ?

Qu’est-ce qu’un graphiste ? Pourquoi choisir un graphiste ?

Un peu d’histoire

Selon le sacro-saint Wikipedia, le graphiste est celui qui «conçoit des solutions de communication visuelles». Tout un programme. Mais du coup, les hiéroglyphes, la calligraphie, les peintures des Lascaux, et les marionnettes des Guignols… tout ça… Ça compte ?

Et bien oui, ça peut ! Que ce soit pour faire la caricature d’une personnalité publique ou pour dessiner l’histoire d’une civilisation sur le mur d’une pyramide («pharaon, ça s’écrit avec un ou deux aigles?»), dans les deux cas, on communique visuellement.

Pourtant, le terme «graphisme» n’apparaît qu’à partir XXème siècle. En effet, la discipline est en réalité intimement liée à l’ère de l’industrialisation, de la société de consommation et de la publicité. Aujourd’hui, les médias de diffusion sont omniprésents : dans nos rues, sur la façade de nos immeubles, dans notre télévision, dans notre téléphone (qui reste constamment près de nous)…

Jamais de toute son histoire l’oeil humain n’avait été autant sollicité. Mais surtout, des identités visuelles ont été pour toujours imprimées dans notre mémoire, via notre rétine, pour s’ancrer dans l’imaginaire collectif.

Même nos fêtes ont leur propre code couleur ! Chacun sait, sans même avoir besoin de chercher, la couleur des vêtements du Père Noël. (Bien aidé par la machine marketing de Coca Cola).

Les graphistes, ce sont à la sont à la fois les créateurs et les garants de ces identités visuelles devenues de véritables icônes de la culture mondiale. Reste à comprendre comment transmettre ces visuels…

 

Quel vecteur pour quel message ?

Plus que les « simples » dessinateurs publicitaires d’antan, le graphiste d’aujourd’hui regroupe en fait plusieurs métiers : maquettiste, dessinateur, infographe, typographe, coloriste, designer, illustrateur… Un graphiste c’est tout ça (et plus encore), mais son but est toujours le même : véhiculer efficacement un message via un support visuels ou un outil de communication… et si possible être déclencheur d’achat. Tant qu’à faire.

Traditionnellement, on distingue deux grandes catégories au sein des supports en question :

D’un côté le « PRINT » qui comme le nom l’indique, représente les supports qui nécessitent d’être imprimés. On citera par exemple les dépliants, les cartes de visite, les affiches à déployer sur les lieux de vente, etc… Bref, ce sont les supports physiques.

Sinon, on parlera plutôt de supports « NUMÉRIQUES ». Ceux-ci comprennent (entre autres) le site internet, son extension en application mobile, ou encore les bannières web… On parle à ce moment-là de communication digitale.

Ainsi, bien que la forme et les techniques varient selon les supports, le travail du graphiste reste identique : manipuler des couleurs, des symboles, des logiciels et son sens artistique aiguisé pour mettre en forme un message visuel percutant, en accord avec les désirs de ses clients.

Clients qui n’ont plus qu’à choisir quel type de relations ils désirent entretenir avec le(s) graphistes.

 

L’indépendance

Il existe plusieurs spécialités au sein de la communauté des graphistes. La typographie par exemple, se concentre sur la création de polices de caractères spécifiques. L’illustrateur lui, va inventer des visuels originaux comme des logos ou bien mascottes… Le maquettiste quant à lui va se spécialiser dans la mise en page des documents, notamment les plaquettes commerciales… Les agences de graphismes sont généralement constituées de plusieurs employés (ou collaborateurs, quand on veut faire cool) où chacun dispose d’une spécialité propre.

Le Graphiste Freelance, ou Graphiste Indépendant se doit de maîtriser la majorité de ces spécialités, ou de s’entourer de collaborateurs, pour pouvoir mener un projet dans son intégralité.

Un avantage considérable pour son client, qui n’aura qu’un seul et unique interlocuteur pour toute la durée du projet. Capable de traiter toutes les facettes d’un projet, le freelance est généralement plus réactif, ouvert et capable d’anticiper les futures évolutions de la stratégie de communication.

Polyvalent, autonome, très souvent auto-didacte, l’indépendant est avant tout un passionné qui protège cette ferveur en s’autorisant un maximum de souplesse dans le choix de ses projets et de son lieu de travail.