Objets Publicitaires sur lieu de vente (PLV), quels avantages ?

Objets Publicitaires sur lieu de vente (PLV), quels avantages ?

Objets Publicitaires sur lieu de vente (PLV), quels avantages ?

La réalisation et la distribution d’objets publicitaires sur le lieu de vente (PLV, ou Publicité sur le Lieu de Vente) peuvent offrir plusieurs avantages et bénéfices pour une marque ou une entreprise. Voici quelques-uns des principaux avantages :

 

  • VISIBILITÉ ACCRUE : Les objets publicitaires placés dans un point de vente attirent l’attention des clients potentiels. Cela peut augmenter la visibilité de la marque et des produits, en particulier auprès de personnes qui n’étaient pas nécessairement venues pour les voir.

 

  • RENFORCEMENT DE LA NOTORIÉTÉ DE LA MARQUE : Les objets publicitaires peuvent aider à renforcer la reconnaissance de la marque. Lorsque les clients utilisent ces objets (tels que des stylos, des tasses, des sacs), la marque reste présente dans leur esprit.

 

  • PROMOTION DES PRODUITS ET DES SERVICES : Les objets publicitaires peuvent être conçus pour mettre en avant des produits spécifiques, des offres spéciales ou des nouveautés. Cela peut aider à attirer l’attention des clients sur des produits qu’ils pourraient ne pas avoir remarqués autrement.

 

  • INTERACTION POSITIVE AVEC LES CLIENTS : Distribuer des objets publicitaires peut créer une interaction positive avec les clients. Cela peut favoriser un sentiment de reconnaissance et de valeur chez les clients, ce qui peut se traduire par une fidélité accrue.

 

  • DIFFÉRENCIATION CONCURRENTIELLE  : Dans un environnement concurrentiel, offrir des objets publicitaires peut aider à différencier votre marque ou vos produits des concurrents. Les clients sont plus susceptibles de se souvenir d’une entreprise qui a fait un geste en leur offrant quelque chose.

 

  • AUGMENTATION DES VENTES ET DE LA FIDÉLITÉ À LA MARQUE : Si les objets publicitaires sont pertinents et utiles pour les clients, ils peuvent être incités à revenir pour acheter davantage de produits de la marque. Cela peut contribuer à augmenter les ventes et à renforcer la fidélité à la marque.

 

  • SUPPORT À D’AUTRES CAMPAGNES MARKETING : Les objets publicitaires sur le lieu de vente peuvent compléter d’autres efforts de marketing, tels que des campagnes publicitaires en ligne ou à la télévision. Ils peuvent servir de rappel visuel aux clients.

 

  • COÛT EFFICACE : Comparé à d’autres formes de publicité, comme les annonces télévisées ou les campagnes en ligne, la création et la distribution d’objets publicitaires peuvent être relativement économiques et offrir un bon retour sur investissement.

 

Cependant, il est important de noter que pour que les objets publicitaires soient efficaces, ils doivent être pertinents pour le public cible, de qualité et alignés sur l’image de la marque. Une mauvaise conception ou des objets de qualité médiocre pourraient avoir l’effet contraire et nuire à la perception de la marque.

Quels sont les bénéfices de faire une plaquette d’entreprise ?

Quels sont les bénéfices de faire une plaquette d’entreprise ?

Quels sont les bénéfices de faire une plaquette d’entreprise ?

Faire réaliser une plaquette d’entreprise par un graphiste, quels sont les bénéfices pour le client ?

La réalisation d’une plaquette d’entreprise au design soigné présente de nombreux avantages pour le client. Voici quelques bénéfices clés :

  • IMAGE PROFESSIONNELLE : Une plaquette au design élégant et professionnel renforce l’image de l’entreprise aux yeux de ses clients, partenaires et prospects. Cela témoigne de la qualité et du sérieux de l’entreprise, ce qui peut améliorer sa crédibilité et sa réputation.

 

  • COMMUNICATION EFFICACE : Une plaquette bien conçue permet de communiquer clairement et efficacement les informations essentielles sur l’entreprise, ses produits ou services, sa mission et ses valeurs. Cela facilite la compréhension de l’offre de l’entreprise par le public cible.

 

  • DIFFÉRENCIATION : Dans un marché concurrentiel, une plaquette d’entreprise avec design graphique réfléchis peut aider à se démarquer de la concurrence. Un graphisme attrayant attire l’attention et suscite l’intérêt, ce qui peut inciter les clients potentiels à choisir votre entreprise plutôt que d’autres.

 

  • MÉMORABILITÉ : Un design original et accrocheur permet de marquer les esprits des lecteurs. Une plaquette bien réalisée a plus de chances d’être conservée par les clients, offrant ainsi une meilleure visibilité à l’entreprise.

 

  • ENGAGEMENT ACCRU : Un design esthétique et attrayant incite les lecteurs à s’engager davantage avec la plaquette. Les gens sont plus enclins à lire une plaquette visuellement attrayante, ce qui augmente les chances de susciter de l’intérêt pour les produits ou services de l’entreprise.

 

  • SUPPORTS MARKETING VARIÉS : Une plaquette bien conçue peut être utilisée dans divers contextes marketing tels que les salons professionnels, les présentations commerciales, les mailings ou les envois postaux. Cela en fait un outil polyvalent pour promouvoir l’entreprise et atteindre de nouveaux clients.

 

  • COHÉRENCE DE MARQUE : La conception d’une plaquette d’entreprise permet de respecter l’identité visuelle de la marque, en utilisant les couleurs, le logo et les éléments graphiques propres à l’entreprise. Cela contribue à renforcer la cohérence de la marque à travers tous les supports de communication.

 

  • AUGMENTATION DES CONVERSIONS: Une plaquette bien réalisée peut influencer positivement la décision d’achat des clients potentiels. Lorsqu’elle est associée à un contenu convaincant et des offres attrayantes, elle peut augmenter le taux de conversion des prospects en clients réels.

En résumé, la réalisation d’une plaquette d’entreprise au design professionnel offre une opportunité de renforcer l’image de marque, de communiquer efficacement, de se différencier de la concurrence, d’accroître l’engagement des lecteurs et de favoriser la croissance des ventes. C’est un investissement qui peut apporter de nombreux bénéfices à l’entreprise sur le long terme.

Quelques exemples de réalisation :

Les droits d’auteur

Les droits d’auteur

Les droits d’auteur

LA CESSION DES DROITS D’AUTEURS

Abordons ensemble un sujet certes connu mais souvent incompris : les droits d’auteur et leur cession.

Le sujet étant un brin technique, ce billet sera probablement un peu plus long et complexe que mes habituelles publications. Relevons tout de même nos manches, car il s’agit d’une question indispensable à la protection non seulement des œuvres, mais aussi de leur créateur et de son commanditaire. 

 

BIEN COMPRENDRE LES DROITS D’AUTEUR 

En droit, le code de la propriété intellectuelle stipule que toute personne ayant créée une œuvre originale est immédiatement désignée comme l’auteur de l’œuvre en question. Ce statut d’auteur s’accompagne automatiquement de l’obtention des droits moraux et des droits d’exploitation de l’œuvre.  

La distinction est importante, car les droits moraux ne peuvent en aucun cas être cédés, au contraire des droits d’exploitation. Le code de la propriété intellectuelle les définit en effet comme perpétuels, inaliénables et imprescriptibles. Les droits moraux comprennent :

  • Le droit de divulgation : soit la possibilité de rendre l’œuvre publique et exploitable ;
  • Le droit au respect du nom : l’auteur peut choisir de signer son œuvre et exiger d’être cité à chaque utilisation de l’œuvre ;
  • Le droit au respect de l’intégrité de l’œuvre : l’auteur peut s’opposer aux atteintes portés à l’intégrité de l’œuvre (modification, colorisation, détournement, ajouts d’autres éléments non-désirés, etc…) ;
  • Le droit de retrait ou de repentir : Extrêmement rarissime dans le cas où les droits d’exploitation ont été cédés, l’auteur a toutefois la possibilité de revenir sur sa décision et retirer son œuvre de l’espace public. Cela s’accompagne d’une indemnisation de l’auteur envers le cessionnaire pour préjudice infligé.

Les droits d’exploitation quant à eux, peuvent être cédés de l’auteur vers le commanditaire de l’œuvre. C’est d’ailleurs cette passation de droits qui justifie la rémunération.

En somme, si vous êtes une entreprise et que vous engagez un(e) graphiste pour dessiner un nouveau logotype, vous n’achetez pas le logo mais vous payez le droit d’utiliser la production intellectuelle de l’auteur. Les droits d’exploitation, parfois appelés droits patrimoniaux, comprennent :

  • Le droit de représentation : qui correspond au droit de diffuser l’œuvre ;
  • Le droit de reproduction : le droit de reproduire l’œuvre sur n’importe quel support pour participer à la diffusion ;
  • Le droit d’adaptation : le droit d’adapter l’œuvre selon le support choisi.

Ce qu’il faut retenir :

POURQUOI LA CESSION DES DROITS EST-ELLE SI IMPORTANTE ?

Qu’il s’agisse d’un logo, d’une carte de visite, d’un flyer, ou toute autre production issue de mon savoir-faire et de mon esprit (et quel que soit le support), je suis l’autrice de l’œuvre et par conséquent, les droits moraux relatifs à l’œuvre m’appartiennent. Pour ce qui est des droits d’exploitation, ils peuvent être, tous ou en partie, transmis à mon client via un contrat de cession des droits.

Par ce contrat, le client et moi-même nous accordons sur quels droits sont cédés, et dans quelles limites ? Un tel contrat est indispensable au bon fonctionnement d’une collaboration entre mon client et moi, non seulement car il me protège des abus de propriété intellectuelle, mais aussi pour protéger mon client. En effet, un contrat de cession des droits bien rédigé permet également au client de se défendre si l’auteur ne respecte pas sa part du contrat (par exemple en décidant subitement de retirer l’œuvre de l’espace public), et le cas échéant d’exiger une compensation financière. Logique, puisque le client paye justement pour avoir le droit d’utiliser l’œuvre selon les cadres fixés par le contrat de cession des droits !

Prenons un exemple concret selon lequel le commanditaire se voit céder les droits d’utiliser pendant 10 ans un logo que j’ai dessiné pour sa carte de visite :

-Si il souhaite durant cette période décliner ce même logo sur un t-shirt par exemple, le client doit m’en informer et définir un nouveau contrat de cession, car chaque utilisation se paie.

-Si en revanche, je souhaite après 5 ans retirer ce logo des cartes de visite sans raison valable, le commanditaire peut utiliser le contrat pour prouver que les droits d’exploitation lui appartiennent toujours, et contrer ma demande.

    Ce qu’il faut retenir :

    QU’EST-CE QU’UN BON CONTRAT DE CESSION ?

    Pour qu’un contrat de cession de droits soit valable, celui-ci doit être rédigé de manière précise. Des termes comme « cession illimitée » ou « toute utilisation possible » sont à bannir de tout contrat de cession. Il faut délimiter dans le temps et lister une par une toutes les utilisations autorisées, faute de quoi le contrat n’est pas assez précis, et devient par conséquent caduque. Rappelons-le, un client ne rémunère pas un artiste pour devenir propriétaire de sa création, mais uniquement pour s’offrir le droit d’utiliser ladite création. Par conséquent, les utilisations en question doivent être définies de la façon la plus claire et exhaustive possible.

    Ainsi, un bon contrat de cession des droits devra obligatoirement définir :

    • La nature des droits cédés : la diffusion ? La reproduction ? L’adaptation ?
    • Le domaine d’exploitation : de quelle œuvre parlons nous (logo, site web, flyer)? Pour quels supports ? Dans quelle zone géographique et durant combien de temps l’œuvre peut-elle être diffusée ?

    Imaginons que vous m’engagiez en tant que graphiste pour réaliser une brochure publicitaire. Le contrat de cession devra par exemple préciser que la brochure pourra être diffusée dans toute l’Europe, pendant 5 ans. Seulement, vous comptez participer à un salon prochainement, et vous voudrez donc adapter la brochure pour devenir un kakemono à déployer sur votre stand. Le contrat de cession devra donc préciser que le droit d’adapter la brochure vous est également transmis, faute de quoi, la rédaction d’un nouveau contrat de cession sera nécessaire.

    Ce qu’il faut retenir :

    COMBIEN COÛTENT LES DROITS D’AUTEUR ET LEUR CESSION ?

    Évidemment, pour qu’un contrat soit profitable aux deux parties, il ne doit pas seulement être clair. Il doit aussi être juste. Et pour s’en assurer, la question de la tarification doit être soulevée.

    Chaque auteur étant totalement libre de fixer le prix de cession de ses droits, il n’existe pas de tarification de référence. Le prix est donc fixé par le marché, mais puisque la question des droits d’auteurs est souvent méconnue, incomprise voire paresseusement ignorée, nombre de professionnels facturent « à l’aveugle ». Ce qui ne manque pas de créer des abus et de totalement déséquilibrer le marché.

    Seul le Journal Officiel de la République Française du 2 mai 1987, toujours en vigueur aujourd’hui, définit un plancher minimal clair et précis (via un système de coefficient basé sur la diffusion de l’œuvre). Si des prix plus bas que ceux imposés dans ce texte législatif sont appliqués, le contrat peut être déclaré caduque par un juge. Seulement, à l’époque, nous étions bien loin d’imaginer toutes les nouvelles applications du graphisme (Powerpoint, vidéo, sites internet, etc.) et le barème ne semble plus être aussi pertinent qu’en 87…

    Plusieurs méthodes de calcul sont toutefois possibles. Si le travail du graphiste est par exemple de créer un objet commercialisable, un pourcentage sur les recettes de vente peut s’appliquer. Dans le cas d’une création de logo ou d’une publicité, le plus commun est d’appliquer un tarif au forfait s’étalant sur toute la durée d’exploitation. Enfin, certains graphistes choisissent tout simplement de réserver un pourcentage du prix total de la prestation aux droits d’auteur, qui varie selon le nombre d’utilisations/adaptations de l’œuvre ou sa zone de diffusion.

    Faute de véritable référentiel applicable à toutes les situations, chaque graphiste applique sa propre méthode de facturation des droits d’auteur. Comme tout bon contrat, celui-ci doit donc se négocier entre les deux parties et s’adapter à leurs moyens. Une multinationale n’a pas les mêmes objectifs et moyens qu’une micro-entreprise locale et en tant que prestataire, je dois être capable de m’adapter à vos situations respectives !

    Une fois le contrat approuvé et signé, les deux parties peuvent évoluer dans un cadre légal précis, qui les protège de tout abus d’un côté comme de l’autre. Une base saine et limpide indispensable à une collaboration efficace !

    Ce qu’il faut retenir :

    Réalisation de la Landing Page de Provence 3D

    Réalisation de la Landing Page de Provence 3D

    𝗥𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝘀𝗶𝘁𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗣𝗿𝗼𝘃𝗲𝗻𝗰𝗲 𝟯𝗗, 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘃𝗶𝘀𝗶𝘁𝗲 𝘃𝗶𝗿𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝟯𝗗 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗠𝘂𝘀𝗲́𝗲𝘀, 𝗧𝗵𝗲́𝗮̂𝘁𝗿𝗲𝘀, 𝗢𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗱𝘂 𝗣𝗮𝘁𝗿𝗶𝗺𝗼𝗶𝗻𝗲

     

    📌 Le challenge : réaliser une Landing page efficace tout en informant de la solution innovante de Provence 3D, et de ses riches fonctionnalités à destination des acteurs culturels.

    📣 La nouvelle : la landing page est en ligne ici : www.provence3d.com

    🔹Un travail d’équipe que nous avons mené avec Claire Maurel, chargée de la création des contenus rédactionnels.

    Nous avons été ravies d’allier le numérique et la culture pour contribuer au développement de Provence 3D et à l’accès à la culture par la visite virtuelle !

     

    🙏 Merci à Bertrand Bonnaud de nous avoir confié cette mission.

    Merci au Pôle Culture et Patrimoines d’avoir organisé la soirée Culture & Numérique en juillet dernier et qui a permis cette belle collaboration !

    Mon engagement

    Mon engagement

    Mon engagement

    𝗠𝗼𝗻 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝗮𝗻è𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗺𝗲𝘀 𝗮𝗺𝗶𝘀 𝗦𝗮𝗽𝗶𝗲𝗻𝘀

    Un post un peu particulier. Cette fois, je ne vous présenterai en effet aucun projet, ni aucun collaborateur ou collaboratrice.
    Ici, je souhaite vous parler de mes convictions, de mon engagement aussi bien personnel que professionnel pour l’amélioration des conditions sociales et du développement durable.

    Signataire de la Charte du design écoresponsable et adhérente au Code de Déontologie du Designer Professionnel, je suis en effet engagée à pratiquer mon métier dans le respect de l’écologie et en œuvrant pour l’avancée culturelle, intellectuelle et sociale.
    Si ces concepts peuvent malheureusement parfois paraître abstraits, voire pompeux, ils peuvent toutefois être expliqués de manière tout à fait concrète. Il s’agit en fait d’appliquer, à chaque étape de mon métier, quelques règles finalement assez simples 

    1. Continuellement rechercher l’amélioration, que ce soit par l’information ou la formation ;
    2. Agir ensemble, en impliquant autant que possible mes collaborateurs et en les informant de ma démarche ;
    3.  Choisir judicieusement mes collaborateurs, mes fournisseurs et mes clients selon des critères environnementaux et sociaux. La même démarche s’applique aux ressources ;
    4. Minimiser les besoins en énergie et les émissions polluantes tout au long du cycle de vie du produit ou du service fourni
    5. L’application systémique et systématique des principes évoqués plus haut. En somme, en tant que designer éthique, je souhaite que mon travail participe à l’intérêt commun, aussi bien pour mes contemporains que pour les générations futures. Si ce désir est bien entendu un choix personnel, j’espère que vous pourrez trouver dans ce petit texte un témoignage supplémentaire de mon engagement. Une sorte de vœu public adressé à quiconque pourrait lire ces lignes.

    Et qui sait, une source d’inspiration pour d’autres ?
    #designer #designer #design #ecoresponsable #ecoconception